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 "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.

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"Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. Empty
MessageSujet: "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.   "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. EmptyMer 11 Mar - 21:17

♥~~○~~♥

   
Maryweather Graziella Rosenbach

"Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. 203247fichemary
• Race :  Humain
   • Age :  21 ans
   • Sexe : féminin
   • Rang :  Civile, veuve d'un riche marchand d'Art, ex-artiste de cirque.
   • Sexualité : Hétérosexuelle
   • Avatar : OC d'un artiste Pixiv.


   
Caractère

   

   
Elle se tenait là, debout, dans l'ombre avec cet espèce de demi-sourire narquois, moqueur, tellement impersonnel en fait. Ses yeux clairs brillaient d'une drôle de lueur, sa lèvre inférieure légèrement agitée par un grésillement nerveux. Elle n'étais pas bien grande mais pour la première fois de sa vie Abel pensa qu'elle pourrais lui faire vraiment du mal. et Abel n'aima pas cela. Elle avait l'air tellement furieuse, et tellement calme en même temps qu'il ne tenta pas de lui donner du «  Grazie-chérie » parce qu'il eût la certitude que ça ne ferai qu'aggraver la situation. Elle avait l'air a la fois très jeune et très vieille. Intemporelle.  D'une violente innocence, mais calme en surface, comme un lac que rien ne trouble, alors qu'il savait qu'elle tempête et quelle fureur régnait en dessous.

Maryweather n'étais pas son vrai nom, elle l'avait adopté un peu avant son mariage avec un riche bourgeois. En réalité lui il l'avait toujours connue sous le nom de Graziella , une enfant à la beauté perturbante. Une jeune fille qui avait conscience de ses atouts et qui avait toujours eu assez d'esprit pour s'en servir à son avantage. En fait il aurait sans doutes  du se méfier de cette intelligence trop vive, trop acérée et de cette curiosité intellectuelle débordante, dévorante et irréfrénable. Sa sœur Carmilla, n'était pas comme ça , plus simple. Graziella posait des question, lisait beaucoup, beaucoup trop. Elle avait appris seule. Et bien appris, elle écrivait parfaitement bien, adepte de philosophie, de psychologie et toutes ces choses compliquées que les gens normaux de la plèbes ne pouvaient pas comprendre. Mais Graziella, elle se nourrissait de ces choses là, elle les assimilait et elle savait s'en servir.  Elle avait un esprit pratique, une grande capacité d'analyse et de concentration et une mémoire atrocement phénoménale.

Elle aurait pu être une bonne petite, et honnêtement à voir sa bouille d'ange, on avait pas envie de croire à quel point elle pouvait être calculatrice, manipulatrice et combien elle aimait avoir un contrôle total de chaque situation. C'était pas une mauvaise fille mais elle ne supportait pas la misère dans laquelle elle avait été maintenue toutes ces années et elle savait se donner les moyens du contraire. Elle savait comment plaire, comment formuler ses demandes en ordres discret, mais incontournable cependant.  Finalement, elle s'arrangeait toujours pour vous faire faire quelque chose que vous n'auriez pas fait de votre plein gré. Elle était capable de tout le pire comme le meilleur pour s'approprier l'objet de ses désirs. Fut-il simple lubie.

Mais elle avait un sourire chaud et brillant comme le soleil, et c'était facile de lui pardonner ses petites fourberies et manipulations. Pour peu qu'on s'en soit rendu compte. C'était une femme d'une grande douceur et d'un calme olympien quand elle n'entrais pas dans une de ces crises de colère et de caprices qui la rendaient totalement incohérente. Le cœur sur la main et pas la langue dans sa poche. Elle possédait cette franchise un peu naïve et blessante qu'on parfois les enfants, sa propre notion de ce qui était bien et de ce qui ne l'était pas. Elle se plaçait au dessus des loi car ne les voyants pas s'appliquer à sa personne, elle n'avait de compte à rendre à personne et n'avait pas de responsabilité à prendre pour autrui , se délestant d'ailleurs assez souvent des siennes propres.  C'était une personne fidèle, un véritable pilier, un cœur de diamant brut , quelque chose que rien ne pouvait atteindre et qui se relevait toujours des coups qu'on lui infligeait.  Elle avait cette espèce de noblesse naturelle qui la poussait à tendre la main à ceux qui en avaient besoin, s'assurant quand même de pouvoir en tirer quelque profit.  

Graziella pensait qu'on aime parce qu'on aime et qu'on aime pas exactement pour les mêmes raisons, mais c'était quelqu'un qui aimait inconditionnellement. Et qui haïssait avec autant d'identité , sinon plus. Pouvait crever de rage comme d'amour.  Le pardon facile et la rancune tenace, elle avait cette cruauté déchaînée et un peu malsaine des plus jeunes enfants, mais c'était là. Tapis dans l'ombre, tenace, tendu, perfide et chaud...derrière la glace de ses yeux.

Et Abel n'aimait pas cela.
A raison.
   

   



   
Apparence

   


   
Tu virevolte Graziella. Grazy -jolie, jolie ♫
Et ça me fend le cœur, l'échaude encore et encore.
Tu Virevolte Gazy-Jolie, Jolie ♪
Comme un papillon,
tout plein de couleurs merveilleuses.
Grazy-Jolie, jolie...♫

Et tu es là, tu n'as pas besoin des toilettes et des bijoux, des parfums de toutes ces dames pour entrer dans mon âme, dans l’âme des autres, tu as tes armes, les tiennes et elles sont redoutables.  Il y à tes cheveux longs. Comme l'hiver. Blonds, blancs, je ne sais pas, je ne sais plus. Ils sont or et lumière, le soleil et puis la lune, tes boucles épaisses , soyeuses comme la plus pure et la plus chère des soies venue de Chine. Fins comme ces fils d'or dont on se sert pour sur piquer les robes des nobles et de sa majesté et quand ils sont noués sur ton crâne et que tu danse la haut sous le chapiteau à 15 mètres du sol, on dirais l'aura sacrée d'un ange.

Tu virevolte Grazy-jolie, jolie ♫
Et tu fais pleurer mon cœur échaudé.
Tu virevolte Grazy-jolie, jolie ♪
comme un ange,
tout plein de grâce et de lumière.
Grazy-jolie , jolie...♫

Tu as la peau blanche, la peau neige. Claire , si claire, trop claire.  une couleur tellement pâle en vérité qu'elle donnerai à beaucoup un air maladif, presque morbide. Mais ça te donne seulement un air fragile, un air porcelaine poupée de France, idole de cristal. Ta peau comme du velours, ta peau douceur, ta peau saveur ...ta peau qui rosis quant tu es heureuse, que tu ris, qui rougis quand tu es furie, que tu es méchante, quand tu as froid. J'aime cette rougeur et je ne saurais dire si c'est elle ou ta gorge licencieuse qui me fait perdre la tête le plus. La forme de ton visage, si clair, si doux, séraphique et d'une noblesse à couper le souffle. Personne en le voyant ne pourrais croire que tu es la fille à personne, la fille de la putain, de la fille à tout le monde. Gosse de rien.   Mais il est là ton visage avec ton petit nez aquilin, tes lèvres rouges un peu enflées, pas tout à fait symétriques mais qui demandent à être embrassée et ces deux diamants bleus, enchâssés dedans qui te servent d'yeux comme autant de pierres précieuses sur ta couronne rêvée. Tes grands yeux, grand bleus, d'une profondeur ahurissante qui fracasse tout sur son passage, quand on y regarde bien on y vois le monde tout entier avec la mer tantôt calme, tantôt cruelle, enragée les monts et les vallons et des cascades de lave froide. Tes yeux arrachent une partie de mon âme, une partie de qui le regarde de trop près et c'est ça qui les fait briller tellement , tellement. Je le sais. Je le sais ...et tes longs cils épais, ombrageux n'arrivent pas à y changer quoique ce soit, il approfondissent encore ce mystère.

Tu virevolte Grazy-jolie, jolie ♫
Et tu fais hurler mon cœur épris.
Tu virevolte Grazy-jolie, jolie ♪
comme un démon,
tout plein de stupre et de lascivité.
Grazy-jolie , jolie...♫

Tu as des courbes de femme Graziella. Un corps qui me remue. Pas tant par l'opulence de tes atours, non. C'est à peine s'ils sont correct mais il y à une délicieuse , innocence une violente pureté dans tes traits. Tes petites épaules ses jambes fines, ta taille maigre qui pourrai se passer de corset  tu manges peu, très peu, trop peu et tu es maigre. Tu serai plus jolie avec quelques kilos en plus mais tu serai une moins bonne voltigeuse.  La cambrure de ton dos, tes petites mains aux doigts effilés. Tes mains caresses,tes mains licence...tes bras, tes jambes longues et tes pieds abîmés par tes chaussons de danseuse. Tu as cette démarche digne, celle qu'adoptent les grands , indolente reine au pays de tes songes les plus fous.  Tu as cette grâce frivole qui te démarque, cette allure intemporelle qui pousse les autres à douter. Douter de leur place vis à vis de toi.  Je crois que c'est dans ton corps, dans ce genre d'aura que tu dégage, tu as cette autorité naturelle, presque animale, ce petit grain, ce charme bestial qui force les gens à se retourner sur ton passage. Parce qu'on te regarde et tu aime ça.  Tu as un sourire qui ensorcelle  réchauffe les cœur et parfois les déchire et quand ton rire raisonne contre les murs de pierre je sens la raison qui m'abandonne.  Ta voix comme un oiseau de verre, chaude, un peu grave, légèrement rauque peut-être , magnétisante …. tu es humaine c'est vrai, tellement vrai ...mais si peu, si peu ...comme une erreur, une hérésie. Et je ne sais dire si c'est dans les limbes ou dans les nuages que se trouve ta véritable place...

Tu virevolte Grazy-jolie, jolie ♫
arrache mes ailes toutes blanches toutes noires
Tu virevolte Grazy-jolie, jolie ♪
comme un oiseau de paradis,
tout plein tout plein de vices et de vertus.
Grazy-jolie , jolie...♫
   

   



   
Histoire

   


  ▬ La putain de la rade
C'était comme ça qu'on l’appelait ta mère et c'était normal, c'était ce qu'elle était , même si elle ne vivait plus sur la rade  mais dans cette maison clause de Marseille , un peu à l'écart des docs.  Mais dans ce monde les surnoms ont la vie tenace et de toutes les manières ce n'était pas comme si elle avait cherché  en changer.  Je crois que son vrai nom c'était Régina. Mais ça n'avait pas d'importance, dans ce genre d'endroit personne n'as vraiment de nom, c'est pas les clients qui vont et qui viennent qui s'en souviennent et de toute façon la vieille maquerelle, s'en moquai pas mal aussi. Je crois , qu'elle avait du être belle , dans sa jeunesse quand elle vivait à Rôme, mais les années passant, la faim , les mauvais traitements, ne l'avaient pas arrangée. La peau jaunie pas endroit à cause d'une cirrhose, les dents en piteux état, ses cheveux étaient courts, drus et elle était d'une maigreur affligeante.

Mais les marins sont pas très regardant à ce sujet.  Heureusement, c'est ce qui lui à permit de survivre pendant toutes ces années.  Vous êtes nées ta sœur à deux ans d’intervalles. Carmilla d'abord et toi après. Il n'est pas possible de dire lequel de tout les hommes qui passaient dans cette maison était  votre père, mais c'était un d'entre eux.  Ça n'avait pas d'importance ça non plus. Vous grandissiez dans le grenier, au dessus de salle de service, de temps en temps on vous apportait à manger et vous regardiez le monde à travers un trou dans la charpente.  Il y à eu des hivers vraiment rudes, mais vous aviez une bonne santé et Carmilla et toi les avez traversés.

Régina était une femme un peu rude, alcoolique et je ne sais pas dire si elle avait de l'affection pour vous, mais dans ce genre d'endroit, les enfants n'ont pas de parents , vous étiez les gosses à personne et à tout le monde à la fois. Et tout le monde sais ce qu'il arrive aux enfants des prostituées ; les hommes deviennent marins, les filles prostituées à leurs tour. Pour autant vous étiez des petites heureuses, vives depuis votre greniers vous jouiez déjà aux princesses.

Je pense pouvoir affirmer que vous n'aviez pas le même  père. Elle était aussi rousse que tu étais blonde , il y avait quelque chose de plus maladroit, plus grossier chez Carmilla. Régina ne vous aimait sans doutes pas mais quand elle te regardait elle se plaisait à croire que tu étais la fille d'un noble et riche homme qui s'était perdu entre ses draps le temps d'un soir et que, un jour il reviendrais pour toi. Pour elle.

Foutaise que tout cela. Au cours du printemps 1871 elle à cédé à une overdose d'opium vous laissant toute les deux orphelines dans la maison des plaisir. Tu avais quatre ans à cette époque. Carmilla s'est occupée de toi un peu. Comme elle pouvait.  Mais c'était une petite fille elle aussi.  Sans doutes que les choses se seraient mal terminées pour vous si vous n'aviez pas rencontré Lionel Greco l'année d'après.

Lionel n'était pas vraiment un client de la maison, il était seulement venu récupérer Le-fol, un de ses saltimbanques. Un type qui lançait des couteaux dans son cirque. Dans les cirques non plus , les gens n'ont pas vraiment de prénoms. N'empêche que quand il vous à vues, si petites , si fragiles, agiles et curieuses du monde , il vous à enlevées à la maison. Il ne vous à pas achetées comme il aurait du, il n'en avait pas les moyens , il vous à faites enlever.

Lionel était le propriétaire d'un cirque assez populaire dans le sud de la France et c'est lui qui vous à appris le français et puis l'anglais en suite.  Vous avez continué à utiliser l'italien entre vous, comme un code.  Il à fait de toi une voltigeuse aérienne et de ta sœur une artiste au sol.  En 73 tu as présenté ton premier numéro sur la code raide et au trapèze. Une telle assurance, je te promet que tu m'avais bluffé déjà à l'époque. Et pourtant je suis vieux, très vieux et des choses j'en ai vues, j'en avais déjà trop vues, une telle assurance cependant était absolument hallucinante.

Je n'ai jamais pu te lâcher des yeux. Jamais pas depuis cette époque, et Dieu sait combien je suis pitoyable depuis que j'ai tout donné à une enfant de 7 ans. Cette petite fille jolie-jolie que tu étais et j'étais loin de pouvoir imaginer la femme que tu deviendrais...

▬ London bridge is falling down my fair lady ▬

« – Ce numéro de ruban aérien, tu penses pourvoir le présenter pour la représentation de demain à Cambridge ? »

Graziella à regardé Abel avec cet profondément las et un peu déçu aussi, cet air qui représentait si bien son état d'esrit à propos de ce genre de questions qu'elle jugeait sans intérêt. Elle n'était pas le genre de personne à présenter un numéro qu'elle n'était pas certaine de pouvoir exécuter publiquement.

Abel avait horreur de ce regard et , en vérité, il avait horreur de cette gamine, mais elle était douée, très douée c'était la meilleure voltigeuse qu'il avait eue depuis des années. Depuis que la chinoise Li Ling-Fan était morte en tombant de son trapèze sept ans plus tôt en fait. C'était absolument déroutant et nouveau pour lui que de devoir se plier en quatres aux désirs de cette gamine d'à peine treize ans. Il l'avait prise sous son aile en 77 quand elle était arrivée à Londres avec sa sœur suite à la faillite d'un grand cirque européen dont elles avaient été les vedettes.

Graziella était sans doutes trop intelligente pour mener une vie aussi décadente que celle qu'il lui offrait et il savait qu'elle ne le supportait pas, elle se réfugiait dans la lecture et l'apprentissage de chose que lui ne pouvait pas comprendre.  Et elle lui faisait peur, surtout à cause de sa façon d'agir avec son entourage, elle avait un contrôle presque malsain sur les hommes du cirque et sur bon nombre de clients, il n'était pas rare que des hommes plus vieux assistent quatre ou cinq fois au spectacle pour pouvoir lui parler ou seulement la regarder pour les moins téméraires. Elle se faisait offrir des robes, des bijoux et avait une facilité incroyable à imiter leurs attitudes sociales, la façon dont ils se tenaient, la façon dont ils parlaient ...en quelques semaines, vêtue de soie et d'or elle avait obtenue une prestance et des manières digne des plus grand Duc d’Europe. Ce n'était pas négligeable.

Il ne cherchais jamais à négocier avec elle. Jamais et c'était sans doutes mieux.

Graziella était une enfant étrange, en fait elle n'était pas vraiment une enfant, ne se comportait pas comme telle , en fait. Et c'était intimidant.

C'est deux ans plus tard qu'elle avait rencontré Grhaam.  Mais en toute honnêteté Abel avait été surpris que la prise de contacte soit si tardive. Le Monsieur Grhaam était de ces homme que l'on repérait facilement, de longs cheveux noirs, des yeux verts incandescents, toujours très propre sur lui, des vêtements à la dernière mode et une prestance écrasante et, il était présent à chacune des représentation dans le pays.  Totalement fasciné par le petit démon blond qui évoluait comme un papillon sous le chapiteau.

Abel ne pouvais pas savoir ce qui lierai par la suite cet homme et cette femme. En fait sans doutes que Graziella elle-même ne le savait pas. Comment est-ce qu'elle aurait-pu ?
▬ Toto et Dorothé ▬
« – Graziella je t'en prie ! ... »
« – Maryweather, je m'appelle Maryweather maintenant. »
« – Je sais mais je .. »
« – Tu as arraché tes propres ailes n'est-ce pas ? Pour pouvoir rester à mes côtés. Mais tu as perdu tes pouvoir en même temps qu'elle. Alors qu'elle utilité as-tu encore ? »

J'aurais voulu que cette époque n'arrive jamais. Il était beau tu sais, le temps ou je ne faisais que te regarder de loin. Mais tu as dévoré mon cœur mon âme et tu as tout corrompu sur ton passage. Que ne t'ai-je donner pour que tu sois heureuse ? Je t'ai donné un nom, je t'ai donné mon aide et mes pouvoirs, je t'ai donné mon soutien face à la mort de ta sœur je ...t'ai tout donné de moi. Vraiment tout.  

Mais tu n'as jamais eu besoin de moi pour être heureuse. Tu as pourtant fait de ma personne ton complice dans le vol de nombreuses œuvres et je n'ai jamais rien trouvé à redire la dedans parce que tout ce que je voulais, c'était te voir heureuse et si voler ces tableaux et les revendre faisait ton bonheur, alors je n'étais que trop heureux d'y contribuer, cela dit ….

Jamais je n'ai cru que tu me tournerai le dos de cette façon, en séduisant un autre homme. Magnus Rosenbach assistait à chacun des spectacles que vous donniez à Londres. C'était un riche collectionneur et un vendeur d'Art. C'était presque comme si Dieu l'avait mit sur terre juste pour toi, et il n'as pas fallu longtemps pour que tu parvienne à tes fins.  Tu l'as épousé en 1887 au mois de février en dépit du fait qu'il avait le triple de ton age, mais tu n'aurais pas pu prévoir combien il était mauvais ni la violence avec laquelle il te traiterai.

Tu as toujours été une femme fragile sous la carapace et je ne sais pas comment tu as pu survivre à cette situation. Mais tu l'as fait, tu as toujours été surprenante pleine de ressources. Mais moi je ne pouvais pas le supporter. C'est pour ça que j'ai fais ce que j'ai fais.

Faire assassiner ton époux.
Parce que c'était la seule chose que je pouvais faire pour te sauver, pour te prouver que j'étais encore utile. J'ai donné mon âme à un démon pour qu'il nous fasse disparaître Magnus et moi. Qu'il efface toute trace de notre existence. Tu ne te souviendra plus de moi quand il aura dévoré mon âme mais au moins...je sais que tu pourra vivre heureuse, libre...et qu'il ne posera plus jamais la main sur toi.

Est-ce que tu sais qu'il ne sais pas vraiment suicidé ?
Est-ce que tu te souviens encore de moi ?

Je m'appelle Grhaam. J'étais un ange et ma bouche, n'as jamais pu quitté tes yeux...

Je m'appelle Grhaam …
Je m'appelle Grhaam...
   

   



   
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Dernière édition par Maryweather G. Rosenbach le Sam 14 Mar - 19:57, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.   "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. EmptyMer 11 Mar - 23:50

"Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. 486449819 hâte de voir ta fiche :3~ Fini la vite ~
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MessageSujet: Re: "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.   "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. EmptyJeu 12 Mar - 18:51

Bonjour et bienvenue à toi ! Smile
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MessageSujet: Re: "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.   "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. EmptySam 14 Mar - 19:58

Heey merci pour votre accueil ! "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. 456023687

J'en profite pour uper cette fiche qui est terminée~
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marietta de jarjayes

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MessageSujet: Re: "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.   "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. EmptySam 14 Mar - 20:04

sublime ta fiche
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MessageSujet: Re: "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.   "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. EmptySam 14 Mar - 20:15

Merci beaucoup "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. 456023687
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Matthew T. Hyde
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MessageSujet: Re: "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.   "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. EmptySam 14 Mar - 22:07

Superbe fiche ^^ Malgré tout, je n'ai pas de pouvoir de validation ou quoi que ce soit, seule Abigaëlle peut gérer ça ^^'
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MessageSujet: Re: "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.   "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. EmptyLun 23 Mar - 14:26

Présentation validée.

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MessageSujet: Re: "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather.   "Esclaves de leur oeuvre, ils ont perdu par elle toute personnalité " ○ Maryweather. Empty

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